Cyclistes
-- automobilistes
. Vélos
-- autos
. Bicyclettes
-- automobiles
. Deux roues
-- quatre roues
. Propulsion : force humaine
-- moteur mécanique
. Carburant : la nourriture pour l'un
-- l'essence pour l'autre. Entretien : chez un professionnel pour les deux, ou par son propriétaire ou un ami pour les connaisseurs de la mécanique. Entretien après un certain nombre de kilomètres ou un incident dans les deux cas.
Avec leur similitudes et malgré leurs différences, cyclistes et automobilistes ont le devoir de se partager le réseau routier. Le code de la route est clair là-dessus. Aucune équivoque. Chacun a ses
droits et sa part de
responsabilité. Le
respect mutuel de ces deux utilisateurs des routes du Québec doit s'opérer et les
mentalités se doivent de changer.
La
seule question qui importe est celle de la
sécurité de tous : automobilistes, motocyclistes, cyclistes et piétons. Tous les utilisateurs du réseau routier doivent pouvoir
cohabiter en toute sécurité et ce, tous les jours et à toute heure.
Après la limitation de l'accès à une plage, plus que matinale, de
deux heures par jour au circuit Gilles-Villeneuve, quels endroits seront interdits d'accès aux cyclistes ? Le Mont Royal ? Toute route où la vitesse est plus élevée que 30 km/h ?
Devrait-on créer dans chaque ville du Québec, un parcours fermé, réservé uniquement à la pratique du cyclisme où aucune voiture ni piéton ne serait admis ? Isolés dans leur galaxie, la
sécurité des cyclistes serai donc
optimale.
Sinon, il reste toujours l'option du
hometrainer dans la cour arrière. Un Tour de France couru sur simulateur c'est peut-être ça l'avenir de notre sport.
En terminant, la communauté cycliste est en deuil suite aux événements des 3 derniers jours. Condoléances aux familles, amis et cyclistes touchés de près par ces regrettables événements.
