7.6.11
3.8.10
Des vélos d’ici marquent le monde de la mode et du design

Opus Jura Photo : Rick Katigbak rick@rksportsphoto.com

Opus Nuovella photo : Alec
Article de SENSATION MODE
Vélo OPUS s’associe à la dixième édition du Festival Mode & Design de Montréal
MONTRÉAL (Québec) – Le fabricant montréalais de vélos OPUS est fier d’appuyer le design québécois en participant à la dixième édition du Festival mode et design de Montréal. Le Festival, qui se déroulera du 4 au 7 août sur l’avenue McGill College, permettra à l’équipe d’OPUS de partager sa passion pour le design avec les 500 000 visiteurs attendus.
Afin de mettre de l’avant le côté design des vélos, Angelo Cadet, ambassadeur de la marque montréalaise, marchera à côté de son Zermatt lors du défilé « Highlight sur la semaine de mode de Montréal », au profit de la Fondation de la mode de Montréal et présenté par les vélos OPUS le 4 août à 18 h.
« Être heureux à vélo, c'est être entre terre et ciel, à une hauteur qui n'existe pas », déclare celui qui est tombé amoureux de cette marque tout aussi performante que stylée. « C’est génial d’avoir un vélo qui combine à la fois performance et design! ».
Les festivaliers pourront également parler design, art, culture et bicyclettes avec Alec Stephani, designer des vélos OPUS, entre 12 h et 14 h, et entre 16 h 30 et 22 h à chaque jour, durant la tenue du festival. En effet, OPUS sera présent tout au long du festival à l’Espace Design situé sur l’esplanade de la Place Ville-Marie.
« Nous sommes très fiers de nous associer au Festival mode et design de Montréal», affirme Alec Stephani, designer des vélos OPUS. « C’est pour nous l’occasion parfaite de partager notre vision du design avec des gens passionnés. Le design fait partie de ma vie quotidienne et ce sera un plaisir d’en discuter avec les festivaliers. »
Des vélos conçus pour la vie urbaine : design accrocheur et look d’enfer
Les vélos de la collection Urbanista, qui ont d’ailleurs séduit plusieurs personnes dont le designer Philippe Dubuc et l’animateur Angelo Cadet, affichent un design rétro et une âme écolo. Ces engins au look d’enfer offrent un maniement et une tenue de route impeccables. Simples et élégants, le Classico et le Cervin sont de véritables clins d’œil aux bicyclettes du siècle dernier, adaptés au mode de vie d’aujourd’hui.
Pratiques, robustes, munis d‘accessoires tout confort et de magnifiques poignées en cuir, le Classico et le Cervin séduiront les citadines résolues à éviter les bouchons de circulation et les pleins d’essence. Offerts à prix modeste, on peut même se permettre d’y ajouter un joli panier pour faire ses emplettes.
Mode de transport urbain par excellence, bon pour la santé et pour l’environnement, les vélos de la collection Urbanista permettent d’évoluer librement, du boulot au resto, tout en faisant tourner les têtes sur son passage.
Dessinés et assemblés au Québec, les vélos OPUS sont disponibles dans les boutiques spécialisées. Consultez le www.opusbike.com pour de plus amples informations.
Prix de détail suggéré : Collection Urbanista à partir de 545$$
Blogue Urbanista : http://opusurbanista.blogs
Blogue OPUS : http://opusbike.blogspot.c
À propos d’Outdoor Gear Canada
Outdoor Gear Canada (OGC) a lancé la marque de vélos OPUS en 2001. OPUS compte aujourd’hui une gamme complète de vélos avec plus de 70 modèles. L’entreprise, fondée en 1978 à Montréal, est aussi distributeur exclusif d’une vingtaine de marques réputées de pièces et accessoires de vélo, dont les casques Bell et Giro, les accessoires Easton, les fourches à suspension Fox, les cadenas Kryptonite, les roues Mavic, des souliers et vêtements cyclistes, les systèmes d’hydratation Camelbak, les lubrifiants Finish Line et White Lightning, les supports à vélos Thule/SportRack, les pédales Speedplay ainsi que les pneus Vittoria/Geax.
Le siège social et l’entrepôt principal certifiés LEED (Argent) d’OGC sont situés à Montréal. OGC possède également un entrepôt à Vancouver. La compagnie compte 75 employés en plus de treize représentants des ventes à travers le pays. Pour obtenir plus de renseignements sur la société, visitez www.ogc.ca et www.opusbike.com.
5.6.09
A team of urbanistas take to the streets of Vancouver
IMPACT Magazine > News > Articles A team of urbanistas take to the streets of Vancouver to celebrate Bike Month in BC |
Vancouver, BC (June 4, 2009) – Dressed for downtown – no spandex here – eight urbanistas from Opus Bikes will be travelling throughout Vancouver today to celebrate Bike Month in BC and to show Vancouverites that riding the right urban bike is the new, sophisticated way to travel. Team Opus will be riding Urbanistas, a collection of urban bikes that put a modern spin on the classic, upright bike that comes complete with lightweight fenders (keeps the dirt off this season’s latest fashions), rear rack (to secure small packages) and a kick stand (handy for that quick dash into Starbucks). Fashion friendly and designed for the casual, city rider, the Urbanista bikes pay respectful homage to European styling. Like fashion-forward Europeans, Vancouverites are fashionistas on the go. Comfortable, stable and robust, the Urbanista bikes are perfect for riding to work, school, or around town in style! Get a glimpse of our Urbanistas and meet Dave Cressman, urban cycling expert, who will be kicking off the tour around downtown at the corner of Robson and Burrard. Dave can speak to the emerging trends in urban cycling and how Vancouver is poised to become one of the most cycle-friendly communities in Canada. EVENT DETAILS What: Urbanistas Hit the Road to Celebrate Bike Month Who: Vancouver’s own Team Opus Urbanistas Where: Corner of Robson & Burrard When: Thursday, June 4, 2009, 11:45 am – 12:30 pm |
3.6.09
Les Urbanista sont en ville !

Ce sera l'occasion de rencontrer les gens et de parler de vélos urbains, d'art et de culture...
Le même événement se produira simultanément à Toronto et à Vancouver.
Jeudi 4 juin
11h35 - 14h20
Montréal, Centre ville
Itinéraire :
11 h 35 à 11 h 55
Point A (coin McGill College et Sherbrooke)
12 h 05 à 12 h 20
Point B (coin Maisonneuve Ouest et Peel)
12 h 25 à 12 h 40
Point C (coin Maisonneuve Ouest et De la Montagne)
12 h 45 à 13 h 00
Point D (coin De la Montagne et Ste-Catherine Ouest)
13 h 05 à 13 h 20
Point E (coin Ste-Catherine Ouest et Peel)
13 h 30 à 14 h 00
Point F (coin Ste-Catherine Ouest et McGill College)
14 h 05 à 14 h 20
Point G (coin Ste-Catherine Ouest et Union)

9.2.09
Les Urbanista font parler d'eux en France!

http://www.weelz.fr/fr/velo-urbain/2009/02/09/opus-bike-et-sa-gamme-urbanista/
Les Urbanista font parler d'eux en France!
13.1.09
Vélos urbains

Si la tendance se maintien... comme disait l'autre.
La tendance à la crise économique? Non, tôt ou tard, l'engrenage économique va se huiler à nouveau et retrouver sa cadence, c'est immanquable. La tendance écologique? Oui, peut-être un peu, mais il y a encore beaucoup de chemin à faire.
Non, en fait je parlerais plutôt du fait que si la tendance des nouveaux comportements urbains pouvait se maintenir, c'est-à-dire l'augmentation de l'utilisation du vélo en réaction aux coûts de carburant, et même si ceux-là se sont actuellement abaissés, et bien je pense que nous pourrions croire que nous sommes dans la bonne direction, nous pourrions croire à une amélioration de notre qualité de vie, autant personnelle en termes de santé, qu'en termes d'environnement.
Car il ne suffit pas de faire des beaux discours, mais d'intégrer de façon très naturelle à nos habitudes un style de vie adapté et responsable.
On le voit dans la quantité de matière recyclable qui arrive dans les centres de triage. Il semblerait que ces derniers ont de la difficulté à subvenir aux besoins. Bon, mais là il faudrait aussi se poser la question à savoir pourquoi tout à coup ces centres de triage sont débordés. Les gens recyclent, c'est bien. Mais il y a trop de choses à recycler. Il y a donc un problème en amont. Trop d'emballages.
Mais revenons à nos moutons, heu... à nos vélos!
Afin de maintenir cette tendance à l'utilisation du vélo en ville pour les trajets cours (épicerie, travail, etc.) il faut aussi rendre le véhicule pratique et sympathique. Et c'est justement la raison d'être des vélos "Urbanista". On a voulu se faire plaisir et faire plaisir aux autres en créant des vélos "cool", sans pour autant en faire des "grosses Bertha" intransportables et inabordables. Le Classico ne pèse que 30,5 lb grâce à son cadre d'aluminium 6061. Se détaillant à 560 $* il est de surcroît très abordable compte tenu de son équipement (garde-boue, garde-chaîne, béquille).
Mais il n'y a pas que la Classico. Il y a le Cervin avec les mêmes caractéristiques et, surtout son style unique... Bref, ces vélos représentent avant tout la tendance urbaine "stylée" pour Opus. Nous allons évidemment agrandir la gamme "Urbanista" car, suivant les réactions et le succès de ces vélos, nous croyons beaucoup à cette gamme.
Les vélos urbains performance ont aussi pris une bonne place. Que ce soit le Capriccio avec sa fourche en carbone, l'Orpheo et ces freins à disque, l'Adagio et sont petit prix ou le Belladonna et sa géométrie féminine, ces vélos assument leur caractère de performance et de maniabilité en situation urbaine.
Le Mondano M ou le Mondano W, ainsi que l'Urbano M ou l'Urbano W, en version à fourche à suspension ou fourche rigide, ont depuis longtemps inscrit leur marque au sein de la gamme urbaine.
Bref, c'est un éventail de style et de vélo, autant pour le navetteur sportif, comme pour le navetteur relaxe.
En fait, il s'agit là, non seulement de répondre à une tendance, mais aussi d'offrir quelque chose qui puisse la maintenir à long terme.
Rouler sur un bon vélo c'est une chose, on n'en demande pas moins. Mais rouler sur un vélo qui satisfait notre plaisir là où on ne s'y attend pas, c'est encore mieux. On a tellement souvent entendu la phrase : « Oui, oui, j'ai un vélo, mais il est au fond du garage! », que l'on s'est donné comme mission de procurer l'envie de mettre le vélo à proximité, près pour une utilisation inopinée, spontanée, voire instinctive. Que cela devienne un réflexe naturel, que l'on puisse se dire enfin : « Oui, oui, j'ai une voiture, mais elle est au fond du garage! ».
* Prix de détail suggéré.
6.1.09
Pubs - L'Europe pour 560 $

Arrière de couverture du guide d'achat - VéloMag, printemps 09
Photo : Marc Dussault

Annonce pleine page - VéloMag, printemps 09
Photo : Marc Dussault
3.12.08
Pubs

Guide "Coups de pédale autour de Montréal"- VéloMag, décembre 08
Pour la boutique ABC
Photo : Marc Dussault

Guide "Voies cyclables au Québec"- VéloMag, décembre 08
Pour la boutique ABC
Photo : Marc Dussault

Pleine page - VéloMag, novembre 08
Photo : Marc Dussault
26.8.08
Dessine-moi un vélo !
26 juillet 2008


Charles Meunier
C'est au Québec que l'on retrouve le plus de vélos par habitant au monde. Surpris ? Pourtant, il suffit d'observer le nombre de cyclistes et de tous âges qui se lancent à l'assaut des pistes cyclables et des routes qui sillonnent la campagne québécoise. Sans oublier les rues et les trottoirs des villes qu'un nombre toujours croissant d'adeptes parcourent sur des engins aux caractéristiques techniques et aux look variant à l'infini.
C'est sur ces deux aspects fondamentaux que planchent Stéphane Lebeau et Alec Stephani. Les deux designers créent des vélos urbains, de route, de montagne et de compétition. Si bien que leurs modèles ont porté leur entreprise, Opus, dans le peloton de tête des marques de vélos recherchés conçus et assemblés, pour la plupart, à Saint-Laurent.
« Les designers québécois de vélos, aux dires d'Alec Stephani, se comptent sur les doigts d'une seule main. » Mais comme le fait remarquer Stéphane Lebeau, « cela est appelé à changer ». Pourquoi ? Parce que l'industrie du vélo n'échappe pas à la mondialisation et à la concurrence qu'elle engendre. Celle de la Chine, notamment, est féroce. On y produit annuellement plus de 70 millions de bicyclettes.
Voilà pourquoi le tandem Stephani-Lebeau considère que pour se démarquer et assurer leur rentabilité, la qualité et l'esthétisme sont les meilleurs atouts des fabricants québécois. Ils doivent, et le temps presse, se forger une réputation qui leur permettra de conserver une longueur d'avance pour offrir partout dans le monde des vélos haut de gamme qui allient art et génie, design et mécanique, tout en offrant la meilleure performance au meilleur prix.
Coiffer les Chinois au fil d'arrivée est un défi de taille. Au cours des sept dernières années, la valeur des importations chinoises au Canada pour des vélos bas de gamme a triplé. Elle est passée de 32 à 93 millions de dollars. Durant la période 2000-2004, le nombre de vélos fabriqués au Canada est passé de 740 000 à 480 000. Cela donne une idée de la taille des enjeux.
Un passé garant du présent et de l'avenir
Alec Stephani, si l'on peut dire, est tombé dedans quand il était petit. Enfant, il dessinait toutes sortes d'engins. Plus tard, alors qu'il travaillait comme directeur artistique en publicité, il s'est intéressé, en autodidacte, aux véhicules sans moteur.
« J'ai participé, raconte-t-il, à plusieurs projets comme celui d'un sous-marin à propulsion humaine en collaboration avec l'École de technologie supérieure. Il va sans dire que lorsque l'on m'a proposé de dessiner des vélos, j'ai sauté sur l'occasion. »
Son collègue, Stéphane Lebeau détient une maîtrise en éducation physique et il est un fervent adepte du vélo de compétition. Depuis l'an dernier, il est champion du monde sur piste dans la catégorie des maîtres, titre obtenu en Australie. Tout récemment, il s'est mérité le titre de champion canadien contre-la-montre.
Il y a neuf ans, David Bowman, le grand patron de Outdoor Gear Canada qui produit la marque Opus, a demandé à Stéphane LeBeau d'écrire un article sur l'entraînement en vélo. Le texte a dû plaire puisqu'il a été engagé comme chef de projet. « Et quand en 2000, relate-t-il, l'idée de dessiner et de concevoir des vélos s'est concrétisée, j'ai été très heureux de faire partie de l'équipe. »
Comment expliquer que l'entreprise de fabrication de vélospour laquelle Alec et Stéphane travaillent mette autant l'accent sur le design ? Elle tire son origine de l'approche consommateur qu'elle privilégie. Alec Stephani explique : « Trois critères guident le designer et orientent le choix du consommateur lors de l'achat d'un vélo : l'allure, le poids et le prix. »
L'acheteur potentiel doit être séduit au premier coup d'oeil. « Nous vivons à une époque où le look revêt une grande importance. À qualité égale, on choisira le produit le plus attrayant. Voilà pourquoi, nous misons beaucoup sur l'esthétisme. » Ce qui ne veut pas dire que l'on néglige pour autant la qualité du châssis et des composantes mécaniques comme les roulements à billes, les dérailleurs, les matériaux comme le carbone ou le titane du cadre. Bien au contraire.
I1 existe de par le monde plusieurs concepteurs et fabricants de composantes mécaniques de très haute qualité. Inutile donc de réinventer la roue. « Si nous devions, de dire Alec Stephani, sourire en coin, mettre en marché un vélo "maison", on risquerait de passer à côté de notre client cible. Nous préférons utiliser des composantes provenant de Shimano ou de Campagnolo. Ce sont de grandes marques dont la réputation n'est plus à faire. »
Pour Stéphane LeBeau leur rôle de designer de vélos est clair. « Premièrement, dit-il, nous concevons des vélos avec des cadres et des fourches qui assurent la conduite que le cycliste recherche. Tout bon vélo qu'il soit destiné à la course ou à la ballade doit être à la fois stable et nerveux. Il doit aussi être performant quel que soit son usage. Notre seconde considération toujours en lien avec l'esthétisme c'est le poids. »
Et Alec Stephani de renchérir : « On ne fait pas que rouler avec un vélo, il faut aussi le transporter. Sans oublier qu'un vélo léger facilite les accélérations et les remontées. »
Leur recherche esthétique se fait dans les couleurs, le fini, les décalques et les textures qui sortent de l'ordinaire. L'entreprise vend aujourd'hui 25 fois plus de vélos qu'en 2000.
Designer de vélos : un parcours sinueux ?
Comment devient-on designer de vélos ? Alec et Stéphane n'en démordent pas. Pour devenir designer de vélo, il faut, au premier chef, être adepte de la bécane. C'est leur cas. Le vélo est le moyen de transport qu'ils utilisent quotidiennement pour se rendre au travail. Beau temps mauvais temps, ils testent leurs engins pour mieux connaître les besoins des cyclistes. Alec chevauche des vélos de ville. Stéphane, qui parcourt chaque année plus de 7000 kilomètres à des fins d'entraînement et de déplacement en ville, enfourche son Vivace dont il se sert aussi pour la compétition.
Pour Alec, l'amour du vélo ne suffit pas. « Pour faire ce métier, souligne-t-il, il faut être polyvalent, faire preuve de créativité, savoir s'adapter très vite aux changements, aux besoins des consommateurs et aux tendances du marché. »
Stéphane cite le parcours de Hugues Lapointe qui tout récemment à joint l'équipe. « Il est passé par l'école de design de l'Université de Montréal. Puis, il est venu en stage chez Opus. Nous l'avons gardé. On lui a confié le développement d'une nouvelle ligne de vélos pour enfants et la responsabilité de réaliser le catalogue de nos produits. Preuve que pour réussir dans ce métier la multidisciplinarité joue un rôle de premier plan. »
13.8.08
A spin on the Cervin

Wendy McLellan takes a spin on the Cervin
Photo: Sam Leung
See the original article from "The Province"
A spin on the Cervin 09
It's a bike that demands a wicker basket filled with fresh flowers. And do they make helmets yet that look like wide-brimmed hats?
I was riding around the driveway of a North Vancouver hotel, but Opus's new urban bike, the Cervin, had me imagining I was cruising a cobbled street in Europe on the way to a cafe.
The colour -- "creme brulée with a sand finish" according to the bike's designer Stéphane Le Beau -- is too pretty for spandex. Luckily, the bike comes outfitted with a chain guard so riding in a skirt is a possibility.
The upright frame is a comfortable change from the forward-leaning posture typical of North American bikes, and it's kind of nice to see the scenery while you ride.
The fenders and rack come with the bike, and are painted the same creamy colour. To make it even more irresistible to the stylish neighbourhood cyclist, it has soft, brown stitched-leather handles and a matching brown leather seat.
It looks great, but it's also got potential as a commuter bike with 24 gears, high-quality components and an attractive retail price of about $575.
Le Beau said he designed the bike with a downtown Montreal resident in mind. (We forgive him for that -- he is from Montreal -- but the bike will likely be just as popular on the West Coast).
"I could have called it the café bike," Le Beau said. "It's really for a city person. It's not a bike to take on long tours, but it's great for commuting or for neighbourhood shopping."
It may be time to consider another set of wheels for those little neighbourhood trips.
Urban bike sets wheels a'whirring
High gas prices, green concerns have people flocking to cycle shops.
It's a good time to be in the bicycle business. High gas prices and an interest in doing something to help the planet are convincing more people to switch to two-wheelers for local transportation -- and bringing a new group of customers into bike shops that used to be populated by cycling enthusiasts and kids.
"We're selling tons of commuter bikes. It's a big market right now," said Chaz Romalis, owner of North Vancouver's Cove Bike Shop.
"Business is awesome. The price of gas is driving people to start commuting by bike. Sales are up 200 per cent for asphalt bikes -- it's just taking off."
Romalis was one of the B.C. bike retailers who attended yesterday's preview of the 2009 models of Opus bikes.
It's the first time the Montreal-based bike manufacturer has given B.C. retailers the first look at its new models, and an indication the eight-year-old company is ready to push harder in the western market.
After launching in 2001 with a small line of road bikes, Opus, which is owned by Outdoor Gear Canada, introduced 52 models across a range of styles, from entry-level bikes to all-mountain bikes and high-end, road-racing bikes you can dangle on one finger.
But it was the new line of urban bikes that grabbed the retailer's attention yesterday. The bikes, which will be priced at less than $600, have the Old-World style of traditional European bikes combined with lightweight aluminum frames and gears.
Stéphane Le Beau, a bike designer for Opus and a world champion cyclist, said he designed the two urban bikes for people who want to ride around their neighbourhood rather than drive to the shops, as well as for commuters who live less than 10 kilometres from their workplace.
"I wanted a bike to ride on the street, a perfect city bike," Le Beau said. "It's not flashy, but it has a certain style. I think it's really going to catch on."
George Inglis, co-owner of Ace Cycle Shop, said hybrids and commuter bikes are the biggest sellers at his store on West Broadway in Vancouver.
"People are looking for a bike for the neighbourhood, something to save on gas money," Inglis said. "And these bikes look good, not the same-old same-old."
Bruce Wenting, owner of Wentings Cycle in Mission, said his customers are looking for bikes to use for short trips rather than for commuting long distances, and he predicts the urban bikes will be popular.
"It's like, all of a sudden there's this new invention that's cheaper than a car for getting around," he said.
Rob White, vice-president of sales for Outdoor Gear Canada, said cycling enthusiasts remain a major part of Opus's market, but bike commuters are getting more attention from North American industry.
"People are turning to bikes for commuting to do something for the environment, for their health and to save a buck on gas," White said. "Five years ago, it was cool to show up at work in a Hummer. Nowadays, the cool people show up on bikes."
Wednesday, August 13, 2008
Page: A26 / FRONT
Section: Money
Byline: Wendy Mclellan
wmclellan@theprovince.com
Source: The Province

Opus Cervin 09 - Available December 08
(large picture
photo : Marc Dussault